Interview d’une recrue au HBC Livry-Gargan – Par Thomas Sainte Thérèse et Eloise Berthe
J’ai commencé le handball à l’âge de 7 ans au club du MHB [ndlr : Montpellier], j’ai ensuite fait toutes mes classes là-bas durant 11 ans en passant par le pôle espoir et le centre de formation. J’ai même pu y réaliser mon rêve qui était de côtoyer l’équipe première, que ce soit en participant à des entraînements et même à des matchs. Ce furent des moments très marquants de ma vie. Après cela, j’ai rejoint le club de Valence pour mes deux premiers contrats professionnels dont j’en retiendrais surtout l’accession en D2 lors de la première année. J’arrive aujourd’hui dans le club de Livry pour j’espère de belles saisons.
2 / En parallèle du handball, est-ce qu’il y a d’autres activités qui t’occupe (associatif, professionnel…)?
En parallèle du sport, il y a encore du sport (rires), car j’en regarde beaucoup à la télé et j’en pratique d’autres dans mes temps libres, sinon je passe énormément de temps à écouter de la musique ou à essayer d’en faire.
3/ Quelles sont les qualités d’un bon handballeur selon toi (en particulier sur le poste auquel tu évolues)? Pourquoi ?
Pour moi la qualité primordiale d’un bon handballeur, notamment à mon poste, est d’être un bon défenseur, le plus important se passe en défense. De grands joueurs ont réussi à faire de grandes carrières en ne jouant qu’en attaque, mais moi la phase de jeu qui me plaît le plus est la phase défensive. Il faut aussi avoir des qualités de mobilité importante, que ce soit pour être le premier en contre-attaque ou repli, mais aussi pour se déplacer dans la défense adverse.
La seule chose que j’aimerais leur dire est de prendre énormément de plaisir sur le terrain avec les gens avec qui ils pratiquent ce sport, de se concentrer sur le moment présent tout en gardant en tête leurs objectifs et rêves, mais de ne pas oublier que le plus important se passe entraînements après entraînements et matchs après matchs.
Tout ce que l’on peut me souhaiter, c’est la santé et celle de mes futurs coéquipiers, le reste dépend seulement de nous.
Merci Ilies